Faculté des Sciences Etablissements d'enseignement supérieur scientifique Etablissements d'enseignement secondaire Collaborations internationales
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Etablissements d'enseignement supérieur scientifique
Catégorie d'enseignement supérieur Paramédical - Biologie Médicale Le baccalauréat en biologie médicale (catégorie paramédicale - Haute Ecole Francisco Ferrer, anciennement l'Institut supérieur A. Couvreur) forme en trois années des technologues de laboratoire médical. Ceux-ci mettent leurs compétences au service des centres de recherche scientifique, des laboratoires d'analyses médicales et des industries pharmaceutiques. Cette formation s'adresse aux étudiants passionnés par le travail pratique en laboratoire (chimie, biologie, médical) et désireux d'appliquer les méthodes de la pensée scientifique dans le monde paramédical.
Dans le cadre du Printemps des Sciences 2008 consacré à la Terre, les étudiants de première année en Biologie médicale se sont intéressés à Clostridium tetani, bactérie tellurique (« que l'on retrouve dans la terre ») et ubiquiste (« que l'on retrouve sur toute la Terre »), responsable du tétanos. Il s'agit d'une pathologie infectieuse potentiellement mortelle. De manière spectaculaire, le tétanos peut engendrer, par contraction musculaire, des cassures osseuses. Après une présentation générale de l'origine de la maladie, nous examinerons son incidence sur le globe terrestre d'un point de vue statistique. Les symptômes, la prévention ainsi que le traitement seront analysés.
Catégorie d'enseignement supérieur technique
Les techniques de refroidissement permettent de piloter un processeur à des fréquences nettement supérieures à celles prévues par le fabriquant, un investissement limité pouvant ainsi offrir des gains de performances impressionnants. Explications et démonstrations.
Ecole Normale de Nivelles En plus de leur présence sous le chapiteau des sciences, les travaux des étudiants ont été présentés dans les locaux de l'Ecole Normale, pour les écoles de la région.
Institut Supérieur Industriel de Bruxelles (ISIB)
La nature n'est pas toujours bonne mère. La terre nous irradie en permanence, et nous fait respirer le gaz radioactif qu'elle exhale: le radon. Des milliers de belges sont irradiés dans leur lit plus qu'admis pour les professionnels du nucléaire. Où ça? La radioactivité de la terre est responsable de 60% de l'irradiation du belge moyen. Le risque principal est l'inhalation du radon. Le dépistage du radon dans les maisons permet de préciser les régions affectées.
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