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ACTUSCIENCES


Les huiles et les alcools aussi
appréciables en cuisine qu’à la pompe ?


Les possibilités de valorisation des sous-produits


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La plante de colza et la récolte des graines pour l’huile imposent un fauchage haut afin de limiter la masse végétale à passer dans les machines. Actuellement, ces pailles sont restituées sur la parcelle, ce qui permet de limiter l’exportation des éléments minéraux essentiels et donc, de réduire les apports d’engrais.

Mais la qualité de la paille permettrait d’envisager une utilisation énergétique. Tout comme les grains de blé et les autres céréales, il existe des chaudières à paille.

Une question peut-être posée à ce niveau-là, doit-on valoriser le produit à son maximum à chaque culture ? Ne laisserions-nous pas la paille comme engrais aux champs afin de privilégier une stabilité dans nos cultures ?

Après extraction du sucre de la betterave (et de l’huile des grains de colza), il reste ce qu’on appel le tourteau. Actuellement, et suite à la crise de la maladie de la « vache folle », les mesures prises par différents pays pour limiter l'usage des farines animales dans l'alimentation des animaux d'élevage et domestiques font ressortir tout l'intérêt des protéines végétales.

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